« Tendre vers une prose claire affirmant notre présence en ce monde, notre souci d’y mieux vivre et de le dire avec exactitude. »
Jean-Michel Maulpoix, Du lyrisme, Paris, José Corti, 2000, p. 432.
« Tendre vers une prose claire affirmant notre présence en ce monde, notre souci d’y mieux vivre et de le dire avec exactitude. »
Jean-Michel Maulpoix, Du lyrisme, Paris, José Corti, 2000, p. 432.
Qui d’entre nous n’a jamais été confronté à un poème incompréhensible ? S’il est sans doute de mauvais poèmes qui sont autant d’artifices dissimulés sous des apparences savantes, il en est d’autres dont l’obscurité est le signe d’un travail d’élucidation requis par le lecteur, d’autres qui, pour paraphraser Rimbaud, « ne veulent pas rien dire ». La poète et universitaire Gabrielle Althen livre sur Poezibao une passionnante réflexion en trois épisodes sur un poème de René Char.
Source : gabrielle-althen-feuilleton-1.pdf