Parution de mon recueil « Du Néon aux Étoiles »

Deux ans après Concordance en 2022, mon deuxième recueil paraît aujourd’hui. Il s’intitule Du Néon aux étoiles. Il est centré sur une dimension de mon existence qui est devenue essentielle, après avoir été très un temps refoulée, à savoir mon homosexualité. Pour autant, son sujet principal n’est pas ma petite personne, loin de là. Ce livre entend s’adresser à tout le monde, et explorer en poésie les multiples facettes de la vie gaie, rassemblées en un parcours Du Néon aux étoiles… Alors, aujourd’hui, je vous présente ce nouveau livre !

Du Néon aux étoiles est un recueil coloré, vibrant, engagé. C’est avant tout un hymne à l’amour et à la fraternité. Il varie les formes et les registres pour explorer toutes les facettes, des plus sombres aux plus lumineuses, d’une expérience, à la fois personnelle et universelle, de ce que peut être l’homosexualité. Il remonte aux origines, aux premiers émois, au « coming out ». Il explore la solitude, la tristesse, le désir ; il dessine un idéal d’amour absolu. Il affirme l’importance du collectif et de la fraternité dans un siècle qui s’annonce difficile. Il ne masque pas le tourment, la tristesse, la noirceur mais veut résolument se tourner vers la lumière. Il n’est certainement pas un livre « communautaire ». Il s’adresse à toutes et tous, invités à célébrer l’amour sous toutes ses formes.

Du Néon aux étoiles : image créée par ChatGPT

Je n’avais pas prévu d’écrire sur cela. Sur ce sujet si intime et si politique à la fois. Et puis, il y a eu la mort de Lucas, 13 ans. Suicidé afin que cesse le harcèlement homophobe dont il était victime. Cela m’a bouleversé.

J’ai voulu faire quelque chose. Écrire. Un poème. En l’écrivant, je me suis rendu compte du poids de la violence homophobe, en France et dans le monde. Le petit Lucas est loin d’être le seul. Des articles de presse, j’en ai lu des dizaines, qui racontent des histoires qui se ressemblent trop. Mon poème pour Lucas rassemble ainsi beaucoup d’autres figures, plus anonymes, de victimes de l’homophobie. Ce texte, en forme de litanie épique, ouvre le recueil.

Ce poème, je l’ai lu à l’espace Altitude 500, sur les hauteurs de Grasse, à l’invitation de l’association SlamSol et de Teddy Rimours. Je l’ai lu devant des dizaines de personnes, sur une scène en forme d’amphithéâtre, débordé par l’émotion. Le poème a eu un succès incroyable, et le phénomène s’est reproduit chaque fois que je l’ai lu en public.

Publié sur mon blog, ce poème a également connu un retentissement qui a dépassé toutes mes espérances. Une amie professeur de français l’a enseigné à ses élèves de quatrième dans le cadre du thème « Dire l’amour ». Le poète Mario Badino, que j’apprécie beaucoup et qui ne manque pas d’humour, a souhaité le traduire en italien.

Et puis j’ai rencontré Laurence Vielle, grâce au Festival Poët Poët. Cette immense poète belge m’a fait l’honneur de lire ce poème sur les ondes d’une radio de la RTBF. La vidéo de cette lecture a fait plus de quatorze mille vues sur les réseaux sociaux.

Galvanisé par ce succès inattendu, j’ai voulu écrire d’autres poèmes, qui peu à peu ont donné naissance à ce livre.

Un micro entouré de lueurs arc-en-ciel

C’est un livre qui ose dénoncer une injustice. Qui montre qu’être gay n’est pas toujours joyeux. N’est certainement pas facile tous les jours. Mais qui n’en reste pas à la souffrance. Il y a aussi les rires, la joie, la sensualité, l’amour. J’ai voulu peindre un peu toutes les facettes de la vie gay. Écrire des poèmes plus légers, en m’amusant avec le langage. Évoquer aussi ma situation personnelle pour en faire le terreau d’une poésie universelle. Je voudrais que tous les gays puissent se reconnaître au moins dans l’une de ces facettes. Qu’ils y retrouvent une part de leur vécu, heureux ou douloureux.

Oui, il y a des poèmes un peu durs, des poèmes tristes. Le rôle de la poésie n’est pas de faire comme si tout allait pour le mieux. La poésie n’est pas là pour dissimuler les sujets qui fâchent sous de belles tournures. Elle ne masque pas la violence, la solitude, la tristesse. Et c’est important, aussi, d’écrire sur cela. Mais elle n’en reste pas là. Le recueil porte ce mouvement vers les étoiles, vers l’espoir, vers l’amour pur, vers la sérénité, vers l’éclat doré de la joie.

Plus que jamais. Bien sûr, les choses ont beaucoup évolué depuis 2013 et la loi sur le mariage gay. Mais on revient de loin. Jusqu’en 1990, l’homosexualité était définie comme une maladie mentale par l’OMS. Et aujourd’hui encore, cela dérange. J’ai eu la chance de ne jamais avoir directement subi de violences. Mais j’ai personnellement fait l’expérience des regards de travers en donnant la main à un garçon dans la rue. Et des remarques déplacées lorsqu’il s’agit d’échanger un baiser discret.

Alors, oui, lutter contre l’homophobie demeure non seulement utile, mais extrêmement nécessaire. Les signalements de violences sont en très forte hausse. Un phénomène s’amplifie : les guet-apens homophobes. Des personnes ciblent volontairement des homos pour les piéger, les séquestrer, les tabasser, en se faisant passer pour des amants potentiels.

Face à cette violence, ce livre est ma façon à moi de proclamer la beauté de nos amours plurielles. Il faut le répéter, puisque cela n’est pas évident pour tout le monde. Et le chanter. Nos amours sortent des normes, mais elles sont tout aussi légitimes, tout aussi intenses, et tout aussi belles.

Du Néon aux étoiles : image créée avec le logiciel Canva

Ce titre dessine un parcours, une progression, un idéal. On part de la lumière crue, rose fluo, d’un néon qui grésille dans la nuit noire. C’est une ruelle sombre, dans un quartier mal famé. Ça sent l’alcool et le tabac froid. C’est là que ça commence, le point de départ. Solitude, tristesse, hésitation. Et puis l’aventure du recueil nous emmène petit à petit vers les étoiles. Vers une dimension plus paisible. Une dissipation du malaise.

L’idée était de progresser vers un idéal. Et, entre temps, de jouer sur toute une palette. Des poèmes en prose, en vers libres, en vers plus réguliers. Des poèmes d’amour, peut-être volontairement un peu naïfs, mais qui sont le nécessaire pendant des poèmes plus sombres. Des hymnes, des chansons, des poèmes plus légers, à côté des poèmes sérieux. Qui retournent avec humour le stigmate de l’homophobie.

Au début, je classais simplement mes poèmes dans une progression vague, du plus douloureux au plus joyeux. Avec parfois une alternance, pour introduire de la légèreté dans la noirceur. Puis il m’est venu l’idée d’une architecture plus précise. J’ai regroupé les poèmes en sections, dont le titre est une couleur.

La première section est rouge comme la colère. Rouge du sang de nos frères et sœurs. Car, aujourd’hui encore, l’homophobie tue. Et ce n’est pas une métaphore. L’homophobie fait des morts, des blessés, des traumatisés. Cette première section rassemble les poèmes de combat, qui décrivent et dénoncent la violence homophobe. En commençant par la litanie contre l’homophobie dont je parlais tout à l’heure.

La deuxième section s’intitule « Orange ». Elle rassemble les poèmes centrés autour du « coming out ». J’y raconte notamment le mien, qui n’a rien de particulier sinon qu’il s’est très bien passé. J’essaie de comprendre a posteriori pourquoi celui-ci est arrivé si tard. Pourquoi le processus d’acceptation a été chez moi très long. Pourquoi, même à l’heure actuelle, cela peut rester difficile pour un certain nombre d’entre nous. Et pourquoi cet acte a littéralement changé ma vie.

La troisième section est marquée par le jaune. Elle remonte dans le passé. Dans l’Histoire. Car l’homosexualité a une histoire, souvent méconnue du grand public. Il importe que l’on connaisse cette histoire. Que l’on sache que nous avons toujours été là. Depuis toujours. Y compris depuis la Préhistoire, l’Antiquité. Il est important que les personnes LGBT s’approprient cette histoire. Et il est tout aussi important que les hétéros prennent conscience que nous avons toujours été là.

La quatrième section est rose. Dernière couleur chaude. Couleur tendre et sexy à la fois. Un rose qui n’est pas sans douleur. C’est la lumière crue d’un néon qui grésille dans une ruelle sombre, au plus noir de la nuit. C’est la couleur fluo du string du gogo-dancer. On danse, on s’agite sur la piste, mais, parfois, on repart seul. Cette section rose traite ainsi de ce mélange de désir et de solitude que nous devons être nombreux à ressentir.

La cinquième section, centrale, s’intitule « Noir ». L’unique poème qui la compose évoque la matière noire du poème, sous la forme d’un dialogue polyphonique qui explore le tréfonds, l’obscur, l’inavouable, la mort. Descente aux enfers, catabase, œuvre au noir. Aveu, aussi, de la dimension jouissive de cette part sombre.

La sixième section est placée sous le signe de la couleur verte. Elle rassemble des poèmes d’espoir, des poèmes plus légers, plus positifs. Elle nous montre que, malgré tout, « ça va aller ». Elle évoque la joie de moments festifs, comme le carnaval ou le cabaret. Elle se termine par l’évocation de la figure de la Drag Queen, réinterprétée comme figure forte, puissante, courageuse, résistante.

La septième section trouve dans le bleu l’emblème d’un dire d’amour paisible, sous les étoiles annoncées par le titre du recueil. On y trouve l’expression d’un idéal dans lequel beaucoup devraient se retrouver. On y rêve une scène de première rencontre parfaite, on y profère une déclaration d’amour absolu.

La huitième section s’intitule « Violet ». Elle rassemble des poèmes qui invitent à la réflexion. Elle interroge notre humanité, notre siècle prétendûment moderne, notre rapport au monde, aux choses. Cette section intègre des poèmes écrits sans avoir été pensés au départ pour ce livre, et inspirés notamment de ma fréquentation de la poésie française contemporaine. Elle élargit la réflexion à ce que c’est qu’être humain, à ce que nous voulons faire de notre siècle. Et pour moi, ce n’est pas une digression, cela montre le caractère indissociable des problématiques. Tout est intriqué, intersectionné.

La neuvième section, « Doré », termine sur une note positive. Elle contient des poèmes aux verts courts, proches du rap, de la chanson, de l’hymne. Elle est placée sous le signe de la fraternité. Elle fait de la population LGBT+ une grande famille. Car, contrairement à ce que l’on s’imagine lorsqu’on découvre sa différence, nous ne sommes ni seuls ni isolés. Même si les temps sont durs, cette section nous invite à chanter, à lever notre verre, à trinquer à ce que nous sommes, à nos différences.

En somme, le recueil opère une forme de transmutation alchimique, où la souffrance de l’homophobie, évoquée dans la première section, passe par tout un ensemble de couleurs avant d’être sublimée en or, image de fête, mais aussi de joie et de sérénité.

Les neuf sections de mon recueil en images (composition créée avec le logiciel Canva)

Le recueil, en effet, est centré sur la question de l’homosexualité masculine, tout simplement parce que, même si ce livre ne parle pas de ma petite personne, il est malgré tout né d’une expérience qui est la mienne. Je ne me suis pas senti légitime à parler de ce que c’est qu’être lesbienne, trans, intersexe, bi, etc. Bien sûr, j’évoque parfois l’ensemble de la communauté LGBT, mais de façon générale. Il ne m’a pas semblé légitime de parler, par exemple, de dysphorie de genre, sans avoir vécu ce ressenti profond.

Pour autant, je voudrais insister sur le fait que cet ouvrage ne parle pas de moi. Je n’ai pas personnellement subi de violence physique. Je n’ai pas été rejeté par ma famille. Mon coming-out s’est extrêmement bien passé. Le livre explore diverses facettes de la vie gaie : l’homophobie, le coming out, la marche des fiertés, les drag queen, la vie nocturne… Ce livre contient sans doute beaucoup de moi, mais pas sous une forme autobiographique.

Ami.e.s lesbiennes, trans, bis, je ne vous oublie pas ; soyez assuré.e.s de mon amitié. Du Néon aux étoiles est ancré, c’est ainsi, dans l’expérience et la voix d’un homme gay cisgenre, mais il aspire à toucher tous ceux qui connaissent l’amour, la fierté, et parfois l’hostilité de vivre en dehors des normes établies. J’ai cherché à incarner les nuances de l’identité, de la révolte, et de la célébration de soi, des thèmes qui, même s’ils émanent d’une perspective gay, résonnent dans l’expérience collective de la communauté LGBTQIA+. Ce recueil espère rencontrer chacun là où l’amour et la recherche de liberté s’expriment, et ainsi s’adresser à toutes et tous.

Uni.e.s dans la diversité (composition créée avec Canva)

J’ai publié en novembre 2022 un recueil intitulé Concordance. Ce premier livre rassemblait des poèmes écrits entre 2008 et 2022. Quatorze ans d’écriture, parmi lesquels je n’ai sélectionné que les poèmes qui entraient dans cette quête d’une éclaircie, cette recherche de sérénité, qui fait de l’ouvrage un livre assez introspectif et méditatif.

Dans Concordance, on trouve un ton plus intimiste et réfléchi, un recueil qui cherche des points d’ancrage communs entre l’individu et le monde, avec une écriture portée par une quête d’harmonie et de résonance universelle. C’est une œuvre qui cherche l’apaisement et la sérénité, à travers le choix du liant de la prose, et l’adoption d’une posture méditative.

Du Néon aux étoiles, en revanche, prend une dimension plus affirmée et colorée : c’est une célébration de l’expérience queer, une exploration vivante de ses multiples facettes, avec une écriture plus ludique, plus dynamique, plus percutante. Là où Concordance est une invitation à la douceur et à la contemplation des correspondances entre soi et le monde, Du Néon aux étoiles propose une trajectoire marquée par la révolte, l’espoir, et une revendication jubilatoire des identités plurielles. L’univers de Du Néon aux étoiles est urbain, vibrant, et riche de symboles lumineux qui contrastent avec l’obscurité de certains combats. C’est une œuvre plus colorée, plus festive et revendicative, ancrée dans la volonté de porter haut la voix et la diversité de l’expérience LGBTQIA+.

On aurait donc presque l’impression que ces deux livres n’ont pas grand-chose à voir, et pourtant je leur trouve un point commun essentiel, auquel je tiens beaucoup, et qui est leur optimisme. Du Néon aux étoiles est, dans sa conception même, un parcours de l’ombre à la clarté. Concordance est une recherche d’harmonie et de sérénité. Dans les deux cas, on n’en reste pas à la douleur. Les émotions négatives doivent être prises en compte dans le poème, elles ne doivent pas être naïvement ignorées, mais je tiens à les dépasser, à ouvrir sur quelque chose d’autre, à tendre vers un idéal plus doux et serein.

Oui. Il y a beaucoup de proses méditatives dans Concordance, avec aussi quelques poèmes en vers libres. L’écriture de Du Néon aux étoiles est plus variée, plus ludique aussi. Je renoue avec la rime et les échos sonores. J’ai utilisé une écriture éclatée, forée de blancs, pour décrire l’horreur de la situation vécue par les adolescents LGBT reniés par leurs parents. J’ai voulu écrire, en contrepoint, des poèmes festifs qui utilisent des vers courts, des rimes, des refrains. Je ne me suis rien interdit, pour une poésie multicolore à souhait !

Une telle étiquette serait réductrice, bien entendu. Mon orientation sexuelle est une partie importante de ma personnalité, mais ce que je suis ne s’y réduit évidemment pas. Mais, franchement, j’ai passé trop de temps dans ma vie à redouter des choses ; je suis resté bien trop longtemps dans le « placard », comme on dit, pour craindre cela. Je veux bien être le « poète gay », ça ne m’ennuie pas du tout, bien au contraire. Mon premier recueil, mon blog qui existe depuis près de dix ans, sont là pour montrer autre chose.

Ce livre n’est pas un coming out, le mien est fait depuis longtemps. Ce livre est né avant tout d’une indignation. Tant d’articles rapportant des violences homophobes se sont accumulés dans mon fil de lecture ! Mon intention est de lutter par les mots contre l’homophobie. Sans toute cette homophobie ambiante, j’aurais sans doute parlé de mon homosexualité dans mes poèmes, mais sans nécessairement y consacrer un livre spécifique.

Je pense que ce livre répond à un besoin. Je ne sache pas qu’il y ait beaucoup de livres de cette sorte. Je crois que ce livre est assez singulier, et j’espère qu’il trouvera sa place dans le champ poétique contemporain.

Certainement pas ! Ce livre s’adresse à tout le monde. L’amour est un thème universel, et il me semble que tout le monde peut se retrouver dans ce livre. Mon but est que Du Néon aux étoiles touche l’audience la plus large possible. Il s’agit d’intéresser le plus de monde possible à la fois aux problématiques LGBT, mais aussi plus largement à la poésie.

Le problème de la poésie contemporaine est qu’elle peine à intéresser au-delà d’un cercle assez restreint de spécialistes et de passionnés. Avec Du Néon aux étoiles, j’espère toucher un public plus large, des personnes qui ne sont pas forcément de grands lecteurs de poésie. Et de même, j’espère aussi toucher des gens qui ne sont pas très au fait des vécus et des problématiques des personnes LGBT.

J’ai souhaité éditer moi-même le livre, pour en assumer la fabrication de A à Z, depuis le choix des polices de caractère, la mise en page, l’insertion d’illustrations. J’ai utilisé les outils mis à disposition par le logiciel Canva pour mettre en pages, présenter, organiser, illustrer mes poèmes. J’ai souhaité que le livre soit coloré, agréable y compris dans sa présentation physique.

Du Néon aux étoiles contient aussi des poèmes qui sont explicitement prévus pour l’oralité, et que j’aurai plaisir à lire sur des scènes ouvertes, des scènes slam, des festivals de poésie. J’y vois un autre moyen de faire connaître ce livre et de le diffuser.

C’est très simple ! Du Néon aux étoiles est en vente sur la plate-forme Amazon, où il sera imprimé dans l’imprimerie partenaire la plus proche avant de vous être directement adressé à domicile.

  • Si vous commandez depuis la France, cliquez ici pour acheter le recueil.
  • Si vous commandez depuis l’Italie, cliquez ici.
  • Si vous commandez depuis les Etats-Unis, cliquez ici.
  • Si vous commandez depuis un autre pays, allez dans la version d’Amazon correspondant à votre pays, puis commandez mon recueil.

Par ailleurs, vous pourrez découvrir mon univers lors de la rencontre organisée par « ZeFestival », au Bistrot Poète, le vendredi 22 novembre.


En savoir plus sur Littérature Portes Ouvertes

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

7 commentaires sur « Parution de mon recueil « Du Néon aux Étoiles » »

  1. a découvrir… c’est un plus, je crois, de pouvoir partager certaines pensées ou situations qui peuvent parfois être être similaires lorsque l’on est réceptif à l’homosexualité et de se rendre compte que l’on est pas seul à faire les mêmes démarches, à avoir les mêmes pensées, les même désirs de vivre en harmonie avec qui on est vraiment…

    Aimé par 1 personne

Répondre à michusa Annuler la réponse.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.