Pour être poète, pour être un bon poète, entend-on parfois, il faut avoir une âme d’enfant. Qu’est-ce à dire ? Qu’entend on par là ? Est-ce inné ou bien est-ce que cela se travaille ?
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Pour être poète, pour être un bon poète, entend-on parfois, il faut avoir une âme d’enfant. Qu’est-ce à dire ? Qu’entend on par là ? Est-ce inné ou bien est-ce que cela se travaille ?
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Je vais tâcher aujourd’hui de répondre à cette question que l’on me pose : à quoi sert-il d’écrire et de lire de la poésie selon vous ? La question peut paraître banale. Pour autant, il s’agit d’une véritable question que les poètes eux-mêmes se posent. De fait, y répondre n’est pas si facile qu’il ne paraît.
Continuer à lire À quoi sert-il de lire et d’écrire de la poésie ?

J’ai reçu, il y a quelques jours, un message d’un certain Valerio Cruciani. Celui-ci se présente comme comme l’auteur d’une chaîne audio sur la poésie italienne et étrangère, intitulée « Violante. Poesia e dintorni ». Dans l’un de ses récents « podcasts », il m’a fait l’honneur de citer mon blog. Le moins que je puisse faire est donc de lui rendre la pareille…

Très connus sont les propos de Rimbaud condamnant la « vieillerie poétique » et jugeant ses prédécesseurs « bien fadasses », seul Baudelaire trouvant grâce à ses yeux. Pour lui, c’est certain, « les inventions d’inconnu réclament des formes nouvelles ». Depuis lors, nombreux furent les poètes qui tentèrent d’apporter un souffle nouveau à la poésie, voire à s’opposer farouchement aux traditions. La rébellion contre l’héritage des poètes précédents est-elle indispensable à la création poétique ?